GUADELOUPE & ANTILLES   

Notre sélection de voyages

La Guadeloupe en quelques chiffres

- Préfecture : BASSE-TERRE (10 443 habitants)

- Sous-préfecture : POINTE-A-PITRE (16 343 habitants)

- Population : 375 857 habitants

- Superficie de l’archipel : 1 628 km²

- Langue Officielle : Français, créole antillais

- Monnaie Locale : L’euro €, la même monnaie qu’en métropole

- Fuseau Horaire : (GMT -4 :00)

- Décalage avec Paris : 6 heures Prises Electriques : Type C (Européen)

- Indicatif téléphonique : + 590 590 (pour les fixes) & + 590 690 (pour les portables

Travel–Score de la destination : 46/50 - Pour découvrir le détail et les autres destinations
L’indice Travel-Score calculera l’ensemble des points obtenus sur un total possible de 100 points. Il additionnera le score de cette destination (sur 50) avec la note obtenue par le programme sélectionné (sur 50 également).
Ces points obtenus vous permettront d’évaluer vos options de voyage. Ils tiennent compte à la fois de l’impact humain et environnemental de votre programme, des efforts du pays en matière de développement durable, le niveau de liberté de la population que vous allez rencontrer et la distance de votre déplacement.

La Guadeloupe est un DROM (département et région d’Outre-mer) et une RUP (région ultrapériphérique européenne). CNI (carte nationale d’identité) nécessaire pour les ressortissants français et les européens en général.

Un passeport en cours de validité est requis pour les voyageurs en provenance de pays n’appartenant pas à l’Union européenne. Formalités d’entrées liées au Covid-19

Voyage So-Leader vous fait voyager de manière un peu différente.

La Guadeloupe, archipel situé dans les Caraïbes, est un véritable petit coin de paradis. Elle se situe dans l’arc des Petites Antilles, à 120 km au nord de la Martinique et à 7 000 km de la France métropolitaine.

Températures estivales, soleil, ambiance chaleureuse caribéenne, plages de sable fin bordées d’eau aux couleurs turquoise, tout est au rendez-vous sur l’archipel guadeloupéen. Entre terre et mer, cet archipel offre des sensations uniques au cœur d’une nature spectaculaire. Que ce soit lors d’une randonnée, d’un trail, d’une croisière en voilier ou lors de sorties surf ou plongée, la Guadeloupe est une destination sur mesure pour les amoureux du sport et de la nature.

La Guadeloupe est à la fois une région monodépartementale de l’outre-mer français et une région ultrapériphérique européenne, située dans les Caraïbes, dans les Amériques. Elle se situe au sud d’Antigua-et-Barbuda et Montserrat, et au nord de la Dominique. Après des décennies de croissance démographique, la population baisse lentement depuis quelques années. Le vieillissement de la population et l’émigration très forte des jeunes vers la métropole, afin d’y étudier et y chercher un travail qu’ils ne trouvent souvent pas sur place, sont les facteurs principaux de cette baisse.

Géographie et environnement

L’île principale représente la forme d’un papillon et est constituée de deux îles : la rocailleuse Grand-Terre à l’est et la verdoyante Basse-Terre à l’ouest, qui sont séparées par un bras de mer : « la Rivière-Salée ».

Deux ponts font la liaison entre Grande-Terre et Basse-Terre. Entourée de trois magnifiques îles paradisiaques ; Les Saintes, la Désirade et Marie-Galante ; la Guadeloupe forme un archipel des plus diversifié. Ces îles sont toutes accessibles à moins d’une heure de traversée. Vous pourrez découvrir Les Saintes, un archipel d’îlots volcaniques dignes d’une carte postale.

Partir à l’aventure à Marie-Galante pour un voyage dans le temps ou encore se laisser porter par La Désirade, sa merveilleuse faune et sa flore tropicale. Basse-Terre, la majestueuse, offre des plages magnifiques mais aussi des sentiers de randonnée qui vous permettront de vivre des moments magiques. Le Parc national de la Guadeloupe est situé sur les pentes du volcan de la Soufrière que l’on appelle la "vieille Dame" dont le sommet des Petites Antilles culmine à 1 467 mètres d'altitude. La beauté naturelle de l'île s’admire au travers des lieux incontournables tels que les Chutes du Carbet, le jardin botanique de Deshaies ou encore lors d'excursions en bateau ou en kayak depuis la plage de Malendure. La découverte de la flore et de la faune marines grâce à la sublime réserve Cousteau vous laissera des souvenirs incroyables. Grande-Terre, la fascinante, est une terre de contrastes et dévoile ses facettes les unes après les autres de la même manière que les pétales d’une fleur. Elle est composée à l’ouest d’une plaine bordée d’une mangrove, au centre de la région des Grands Fonds ainsi qu’un plateau aride du nord à l’est possédant des côtes rocheuses et sauvages. Quant au littoral sud de la Grande-Terre, il contient les grandes stations balnéaires du Gosier, de Sainte-Anne et de Saint-François.

Grande-Terre est un royaume où embruns et falaises vertigineuses côtoient la douceur de petits coins de paradis. La Désirade, la surprenante, est une petite île paradisiaque pour les randonneurs et possède des paysages sauvages et des plages idylliques. Ce petit havre de paix est l'emplacement de la première réserve naturelle d'outre-mer à caractère géologique. Les roches les plus anciennes de la mer des Caraïbes remontent à 150 millions d'années. Les couleurs qui composent La Désirade vont du rouge de la terre au bleu clair des lagons en passant par le blanc du sable et forment une alliance des plus réussies. Petite-Terre composée de deux îles situées non loin de La Désirade est rattachée à cette dernière. Terre-de-Haut est inaccessible, c'est une terre protégée.

En revanche Terre-de-Bas, elle, est accessible et possède un phare en son sein. Le lagon autour de ces îles est un camaïeu de bleu laissant miroiter des couleurs changeantes. La population d’iguanes est nombreuse tant sur Petite-Terre que sur La Désirade. Les Saintes, les éblouissantes, sont un archipel composé de 9 petites îles, dont seules Terre-de-Bas et Terre-de-Haut sont habitées. Lieu privilégié pour les activités de plaisance, l’archipel des Saintes regorge de trésors.

Le Fort Napoléon offre une magnifique vue panoramique sur la baie de Marigot, qui fait partie de la plus belle baie du World Club et de la Basse-Terre. Le charme de Terre-de-Haut se manifeste par ses petites cabanes et cases colorées, par ses rues étroites et ses plages, toutes plus belles les unes que les autres, un véritable paradis paisible. Terre-de-Bas, encore peu répandu, est un îlot qui soigne et cultive ses traditions telles que la fabrication d’huile essentielle de Bois d’Inde, le Salako qui est un chapeau traditionnel des pêcheurs Saintois, ou encore la dégustation du poisson coffre.

Marie-Galante, l’authentique, est surnommée l’île aux cent moulins. Ce terroir rural et traditionnel possède l'authenticité de la vie guadeloupéenne, grâce aux maisons créoles en bois de Grand-Bourg qui lui apportent un grand charme. Mais aussi par ses célèbres plages comme celle de l'Anse Canot qui est en outre un point d'ancrage idéal pour les voiliers. Marie-Galante est également une terre de culture et de traditions. Dans un environnement de champs de canne à sucre vous pourrez découvrir les différents savoir-faire locaux tels que la culture de la canne à sucre et la production du rhum agricole, considérées sur cette île comme l'une des meilleures au monde. L'île offrira également un environnement extrêmement riche et bien préservé aux amoureux du patrimoine, comme l’habitation Murat, la colonie Russell-Trianon ou encore le Moulin Bézard, qui date de 1840. La meilleure période pour visiter l’archipel Guadeloupéen

N’oubliez pas que les Antilles c’est -6h de décalage l’été et -5h l’hiver ! Le choix du meilleur moment pour visiter les Antilles dépend de vos attentes ainsi que de l’expérience que vous recherchez. Si vous souhaitez vivre une expérience assez festive avec de nombreux touristes présents sur l’île, la période des fêtes de fin d’année ou de vacances est idéale. Du mois de décembre au mois d’avril, le soleil et les températures sont au beau fixe. Le temps privilégié pour une visite de l’archipel mais aussi pour évacuer lors de trekking dans des paysages fabuleux. Néanmoins, durant cette période, l’affluence des voyageurs dans les hôtels sont les raisons d’une hausse des dépenses et des coûts de consommation. C’est durant cette période que les Antilles sont le plus festives et donc une multitude de soirées, de concerts et d’évènements sont organisés sur l’île. Mais plutôt que de cumuler les épaisseurs de tee-shirt en Europe au mois de janvier vous flirterez avec la crème solaire… ça donne plutôt envie n’est-ce pas ? Sinon pour bénéficier de coûts plus avantageux tout en évitant l’affluence de touristes le mois de mai sera le meilleur choix pour vous.

En effet, le printemps est une saison parfaite pour un parfait séjour dans les Antilles. Le mois de juin quant à lui, vous satisfera si vous êtes un amoureux de la flore. Admirer les îles et sa nature en fleurs durant le printemps est une chose magique aux Antilles. Les chaleurs ne sont alors pas encore trop fortes et les sentiers abondent de fleurs multicolores. C’est d’une somptuosité pour les yeux. Enfin la dernière période de l’année qui s’étend de juillet à novembre est la moins coûteuse pour les touristes. Il s’agit de la période d’hivernage. Qualifiée de saison des pluies, les températures sont les plus élevées de l’année ainsi que la température de l’eau. Les mois d’août et de septembre sont les mois les plus à risque en termes de cyclones, par conséquent beaucoup d’établissements sont fermés. Mais pour ceux qui restent ouverts, la tarification est revue à la baisse et cela devient très intéressant pour les voyageurs sans crainte de risques de pluie, de vent ou bien de grosses chaleurs qui ont de plus petits budgets pour partir au bout du monde. Alors, tarifs imbattables et plages désertes, vous en pensez quoi ?

Ne vous inquiétez pas pour la baignade, quoi qu’il arrive, les Antilles vous garantissent une température de l’eau très agréable en toute saison. Avoisinant les 29°C durant la saison humide, elle peut même dépasser les 30°C de juillet à octobre. C’est donc quelques fois plus délectable d’être dans l’eau. Et en saison sèche, il est rare que la température de l’eau descende au-dessous des 24°C.

Hiver comme été, il est toujours enchanteur et agréable de se baigner dans la mer des Caraïbes. Un peu d’histoire

3 000 av JC : Les vestiges archéologiques retrouvés témoignent de la présence d’une population : les Indiens ARAWAKS, un peuple dont les activités principales étaient la cueillette, la pêche, l’agriculture et la production de céramique décorée.

VIIIème Siècle : Présence des Indiens Caraïbes sur l’île IXème Siècle : Les Indiens Arawaks furent exterminés par la tribu guerrière et cannibale des Indiens Caraïbes - Ils furent suivis par une population plus organisée d’agriculteurs venus des hauts plateaux de l’Orénoque et baptisés Huécoîdes. Ils apportent avec eux tabac, manioc, patate douce.

1493 : Christophe Colomb arrive à la Désirade qu’il baptise Desirada, il découvre peu de temps après Maria Galanda (Marie-Galante) du nom du navire amiral. Enfin il découvre Karukera qu’il nomme Guadalupe du nom du monastère royal de Santa Maria de Guadalupe.

1503 : Cédule royale qui autorise les Espagnols la capture d’Indiens habitant les îles sans or.

1515 : Juan Ponce de Leon & Antonio Serrano procèdent à une pacification de la Guadeloupe et décident de s’installer avec les colons ibériques sur l’île. Les Indiens Caraïbes rétorquent en tuant et faisant des colons des prisonniers. Abandon progressif des Petites Antilles par les Espagnols.

1550 : Présence des flibustiers anglais, français et hollandais dans les Petites Antilles. Escales régulières afin de faire du commerce avec les indiens Caraïbes.

1635-1659 : Guerre hispano-française.

1642 : Louis XIII autorise le commerce des esclaves.

1789 : Révolution en Guadeloupe ; période de troubles marquée par l’Occupation anglaise.

1794 : Première abolition de l’esclavage.

1802 : L’esclavage est rétabli en Guadeloupe.

1848 : Seconde abolition de l’esclavage proclamée

1928 : Cyclone de catégorie 5 dévaste la Guadeloupe.

1936 : Felix Eboué, Premier Gouverneur noir.

1946 : La départementalisation.

1976 : Eruption de la Soufrière en Guadeloupe.

1989 : L’œil de l’ouragan Hugo passe en plein sur la Guadeloupe – rafales de vent de plus de 300 km/h. 10 mai

2001 : Le gouvernement a adopté le texte signifiant la reconnaissance de la traite et de l'esclavage en tant que crime contre l'humanité.

2009 : Grève générale en Guadeloup

Manger et boire

Riche en arômes, la cuisine guadeloupéenne est le témoin du mélange des cultures. Les guadeloupéens utilisent des produits frais, qu’ils viennent directement de la terre ou de la mer.

Deux types de cuisine créole existent de nos jours : Celle des restaurants qui utilisent considérablement les épices & produits exotiques locaux ou importés. Essentiellement du poisson; dorade coryphène, marlin, thon, espadon, vivaneau, etc. Côté coquillage et crustacés; la langouste, les ouassous (grosses crevettes d’eau douce), crabe, lambis, palourdes, burgots.

Plats typiques : court-bouillon, le blaff (bouillon aux œufs d’oursin et au poisson), colombo, ragoût de poulet ou de cabri, soupe locale, le boucané, le matété (plat composé de crabe, de riz et d’épices traditionnellement à pâques). Les accompagnements de ces plats sont très souvent des gratins de légume pays : igname, banane plantain, giraumon (potiron antillais). Pour les desserts : les fruits exotiques tiennent sont très présents : au sirop, confits, en gelées, compotes ou confitures ou tout simplement nature… Un vrai régal!

L’ananas, la noix de coco et la banane sont présents dans de nombreux desserts guadeloupéens. Les spécialités guadeloupéennes sucrées sont le célèbre Blanc-Manger coco (à base de noix de coco et vanille), le sorbet coco, le flan au coco, la banane flambée au rhum, ou encore le Tourment d’amour, spécialité des Saintes. Celle faite maison qui utilise les produits issus des ressources domestiques.

Le meilleur moyen de découvrir cette cuisine traditionnelle et authentique est de séjourner chez l’habitant qui se fera un plaisir de vous faire goûter les bons plats créoles. Certaines spécialités typiques :

- Accras

- Bokit

- Balaous

- Dombres

- Kassav

- Chodo

- Boudin

- Calatou

- Bébélé

- Pône

- Touffé

- Migan

- Pâté en pot

- Sauce-chien

- Souda

TOP 5 des plages de l’archipel Guadeloupéen :

1. Plage de la Perle à Deshaies

2. La plage du Souffleur à Port Louis

3. Anse Canot à Marie Galante

4. La plage du Pain de Sucre aux Saintes

5. La plage de Bois-Jolan à Sainte-Anne

Achats

Vous pourrez lors de votre séjour, prendre le temps d’aller faire un peu de shopping afin de ramener chez vous des souvenirs de votre merveilleux voyage. Se promener parmi les senteurs des spécialités locales est une activité à part entière sur l’île. En effet, les différents marchés de la Guadeloupe vous offrent un délicieux parfum authentique des saveurs créoles. Prenez le temps pendant vos vacances de flâner dans les plus beaux marchés de l’île, à la rencontre d’une ambiance unique !

1. Le marché de Basse-Terre : ouvert tous les jours de la semaine à partir de 6h sauf le dimanche.

2. Le marché de Baie-Mahault : les mercredis de 13h à 17h (tous les produits sont issus de l’agriculture biologique).

3. Le marché de Petit-Bourg : les vendredis soir de 15h à 21h pour une atmosphère festive et familiale.

4. Le marché de Pointe-à-Pitre : du lundi au samedi de 6h à 15h réputé pour ses fabuleuses épices.

5. Le marché de Sainte-Anne : de jour comme de nuit situé le long de la plage de Sainte-Anne.

6. Le marché du Moule : les mercredis de 14h à 20h situé le long du front de mer.

7. Le marché du Gosier : les vendredis de 17h à 22h situé proche de la Datcha.

8. Le marché de Saint François : tous les soirs de 17h à 20h, soupe locale incontournable

Paiements et usages pratiques

Dans la plupart des commerces, les cartes de paiements sont acceptées, mais, comme en métropole, il est peu commun de les utiliser dans les gîtes et les chambres d’hôtes. Prévoyez d’avoir des espèces sur vous . Le règlement par chèque est accepté par différents établissements tels que des gîtes ou restaurants mais l’usage le plus courant reste le virement bancaire. Sur l’archipel, les distributeurs automatiques sont très nombreux et il n’y a pas de commission de retrait (maximum autorisé selon votre carte). Certains établissements acceptent les chèques-vacances, les chèques déjeuner et les tickets restaurants. Bonne occasion pour vous de les « écouler » les pieds dans l’eau.

En Guadeloupe comme en France, le service est inclus dans le tarif affiché, ainsi le pourboire est facultatif. Mais si vous êtes satisfait des services du personnel de l'hôtel ou du restaurant, vous pouvez remettre l'argent directement au serveur, au personnel de chambre, au bagagiste ou au voiturier.

Le transport en Guadeloupe L’avion Différentes compagnies proposent des liaisons avec certaines îles de la Caraïbes, mais pour l’heure, il n’y a plus de vols commerciaux avec les îles de l’archipel guadeloupéen (Marie-Galante, les Saintes et la Désirade). Le train Le réseau ferroviaire guadeloupéen n'est pas encore développé. Le bus A la fois pratique, vivant et économique, le transport par bus vous permettra de découvrir l’île et sa population.

Vous pourrez apprécier la convivialité et la gentillesse des Guadeloupéens lors de vos déplacements en bus sur tout le territoire. Lieu de rencontre ambulant, votre trajet en bus sera bercé par le zouk et le reggae. Par ailleurs, certains chauffeurs personnalisent leur bus en les nommant et en les décorant. Le réseau de bus interurbain, désormais géré par le conseil régional, est en pleine évolution, alors attendez-vous à des variations dans les lignes et fréquences indiquées dans ce guide. Les liaisons urbaines sont gérées par les 4 communautés d’agglomération de Guadeloupe.

Le réseau urbain le plus connu, Karu’lis, relie les grands axes de Grande-Terre et propose 2 lignes reliant l’aéroport, Pointe-à-Pitre et Le Gosier, le tout à prix modique (environ 1,20 à 4 € selon le trajet).

Location de voiture Indispensable aux Antilles pour découvrir la richesse et la beauté des îles ! De la petite citadine à la voiture plaisir cabriolet, en passant par les SUV et Crossover familials de 5 à 7 places, que les véhicules soient à vitesses automatiques ou manuelles, ils répondront à vos attentes en matière de confort et de sécurité. Seul, en couple, en famille ou encore en groupe, vous trouverez forcément votre bonheur. Vous aurez aussi l’assurance de réserver un véhicule disponible le jour-J. Stratégiquement situées près des aéroports et sur des points touristiques importants, il sera très facile pour vous de récupérer votre véhicule en agence.

La voiture reste, bien entendu, la meilleure solution afin d’être libre de ses déplacements. Mais attention, en haute saison, il est recommandé de réserver longtemps à l’avance, à la fois pour avoir la certitude de trouver un véhicule mais aussi pour obtenir des prix plus avantageux. Nombreux loueurs et grosse concurrence sur le marché des voitures de location, on s'en doute. Les prix débutent, autour de 30-40 € par jour, kilométrage illimité. Ils sont parfois plus avantageux au départ de l’aéroport, bien que certains loueurs facturent une « surcharge d’aéroport » d’environ 25 €. Prévoir également de rendre le véhicule propre (intérieur comme extérieur). Gare aux surprises : on trouve de plus en plus de particuliers ou de petites entreprises qui proposent des locations meilleur marché que les loueurs classiques, et si l’on peut faire de belles affaires, on peut aussi tomber sur une arnaque ! Une solution est de passer par votre hôtel ou votre hôte.

Attention : n'oubliez jamais dans vos calculs du temps de trajet le facteur embouteillages ! Location de scooters et de motos Le marché est très peu développé en Guadeloupe continentale. Cela dit, c’est un moyen agréable de locomotion dans les dépendances de la Guadeloupe telles que Les Saintes, Marie-Galante & La Désirade. Si vous optez pour un scooter ou une moto, pensez à prendre votre permis avec vous. Il est obligatoire à partir de 80 cm3. Stop Le Stop est un moyen qui fonctionne, surtout dans les zones peu ou mal desservies par les bus, mais à condition de vous placer au bon endroit pour que la voiture puisse s’arrêter sans gêner la circulation. L’occasion pour vous de vous rapprocher un peu plus de la population locale. Liaisons maritimes Les liaisons maritimes s’effectuent entre la Guadeloupe continentale et ses dépendances.

En une heure de trajet en moyenne vous aurez l’occasion de rejoindre Les Saintes, La Désirade et Marie-Galante. Il vous suffira de rejoindre les ports de départ correspondants. Embarcadère de Pointe-à-Pitre pour rejoindre Marie Galante Embarcadère de Trois Rivières pour rejoindre les Saintes Embarcadère de Saint François pour rejoindre la Désirade, Marie Galante, les Saintes

Festivals et événements en Guadeloupe

- Noël

- Nouvel An

- Le carnaval en Guadeloupe : évènement festif et culturel annuel qui se déroule sur deux mois environ, du 1er dimanche de Janvier au mercredi des cendres. Chaque dimanche, à partir du 1er dimanche de janvier, le carnaval se déroule dans une ou plusieurs communes au travers de défilés et de festivités. Le dimanche gras, la grande parade se déroule toujours à Pointe-à-Pitre et le mardi gras à Basse-Terre.

Enfin le dernier jour du carnaval, le mercredi des cendres, le roi du carnaval, Vaval est mis à mort. Le festival Terre de Blues à Marie Galante : festival de musique français créé en 2000 qui se nommait à l’origine Créole Blues. Il se déroule essentiellement sur deux scènes : celle de l’habitation Murat, haut lieu du patrimoine historique de Marie-Galante et sur la scène du “Village Artisanal Caraïbe” sur le port de la ville de Grand-Bourg

Culture et coutumes

Langue, gastronomie, musique, danse, carnaval… La culture créole est riche.

Son patrimoine et ses traditions font de la Guadeloupe une destination à part entière. Religions & Croyances : Les religions et croyances sont nombreuses et les micro-Églises sont ici chez elles. Pour beaucoup d’Antillais la ferveur importe plus que le chemin.

Dans les villages, la messe est suivie avec conviction : femmes en coiffe, messieurs endimanchés et marmots gominés. Les chants cantiques sont chantés par tous. Les temples hindous, quant à eux, vous feront regretter Bénarès.

Le shivaïsme originel s'est corrompu au contact des chrétiens créoles. La grande fête s'appelle tout simplement Bon Dieu Cooli (le coolie, c'est l'Indien). Quatre jours de sacrifices (un mouton, un coq) et de danses rituelles en habits bariolés, qui peuvent aller jusqu'aux transes sacrées sur le tranchant d'un sabre. Les Antillais entretiennent d'ailleurs un rapport étroit avec leurs morts.

Les veillées mortuaires (qui se raréfient) servent à accompagner le défunt jusqu'à sa dernière demeure, pour qu'il ne revienne pas, courroucé, tourmenter les vivants. Ils vont parfois rire et chanter. Ils vont manger et aussi boire du rhum. Avec, à chaque verre, une goutte versée à terre pour le mort. Les esprits de la nuit : Les rencontres avec les esprits ont lieu la nuit. Ceux-ci quittent les cimetières pour se dérouiller les jambes et, accessoirement, terroriser les vivants. La mémoire collective antillaise a perpétué un ensemble de règles à respecter. D’abord, de manière paradoxale, il faut éviter les églises. Elles sont, la nuit, de vrais repaires à esprits. Également tous les endroits sombres, comme les ravins, les bois épais, les ruelles étroites ou le dessous des ponts. Si, malgré tout, on croise un revenant, il convient de retrousser ses vêtements, ou d’arracher une touffe d’herbe avec un peu de terre accrochée.

En dernier recours, faire un signe de croix. Le mois de mai aux Antilles correspond au mois de la diablesse. D’après les traditions, à la tombée du jour, celle-ci surgit, dressée sur une charrette. Lancée au grand galop, elle fouette son attelage, crie à pleins poumons, frappe sur un tambour et entraîne avec elle l’esprit des hommes qui s’attardent sur sa beauté mulâtresse. Sur ces îles où les trésors enfouis sont nombreux, il y a, dit-on, « toujours un corps au-dessus de l’or ». Le gardien de l’argent, comme on l’appelle, est souvent un ancien esclave qui, ayant creusé le trou, fut remercié d’une balle de plomb pour sceller le secret. Son esprit veille sur le trésor et terrorise ceux qui le convoitent. Mais les esprits les plus célèbres des nuits tropicales sont sans conteste les zombis. Ils ont aux Antilles un sens différent du vaudou haïtien et désignent divers grands diables des îles. Ainsi, les soucougnans sont des « engagés » qui possèdent le pouvoir de voler. Les morfoisés (métamorphosés) quittent leur corps pour prendre l’apparence d’un animal : souvent un chien. Les Antillais n’ont pas oublié qu’au temps de l’esclavage les chiens servaient à traquer les « Nègres marron », et ils ne les aiment guère.

Les rastas : Les rastas, avant tout non violents même s’ils ne cachent pas toujours leur hostilité aux touristes qui symbolisent à leurs yeux les valeurs babyloniennes, croient au pouvoir pacificateur de la musique, observent un régime alimentaire très strict et préfèrent vivre sans travailler excessivement. Pas de burn out en vue donc, sauf si l'on considère leur occupation essentielle qui consiste à pratiquer un jardinage d’un genre particulier : ils plantent, cultivent et fument la ganja.

Vêtement traditionnel : Pour être belle, autrefois, il fallait casser sa tirelire : superbe jupon de broderie anglaise, corsage décolleté, jupe ample en madras (un tissu mordoré à carreaux, acclimaté ici par les Indiens), foulard triangulaire, grande robe chatoyante pour les fêtes, sans oublier un arsenal de bijoux en or (collier-chou, chaîne-forçat, etc.). Adieu foulards, adieu madras... Ce costume superbe a disparu du paysage , même s'il se porte toujours pour les cérémonies, les fêtes (comme celle des cuisinières) et le carnaval. Les femmes antillaises, qui adorent s'habiller pour les grandes (et petites) occasions, arborent fréquemment leurs boucles d'oreilles... créoles, comme on les appelle. Autrefois, ces parements étincelants étaient enroulés de fil noir en période de deuil, tandis que la coiffe se parait de blanc.

Voyage responsable

Voyage So-Leader s'engage à voyager de manière respectueuse des populations locales, de leur culture, de leurs économies et de l'environnement.

Il est important de se rappeler que ce qui peut être un comportement, une robe et une langue acceptables dans votre propre pays peuvent ne pas convenir dans un autre.

S'il vous plaît, gardez cela à l'esprit lors d'un voyage.

Principaux conseils de voyage responsable pour la Guadeloupe

1. Soyez toujours attentif et respectueux des coutumes, traditions, religion et culture de vos hôtes. Evitez de vous ingérer et prendre parti dans les affaires politiques ou sociales locales. 

2. Assurez-vous que les personnes prises en photos y consentent, surtout les enfants. Engagez-vous à les protéger contre toute forme d’exploitation ou de violence sexuelle.

3. En visite chez l’habitant, ne distribuez ni cadeaux ni argent : vous n’êtes plus un « client roi » en pays conquis, mais un « simple invité » qui représente et doit faire honneur à son pays.

4. Apprenez quelques mots de la langue locale et essayez de l’utiliser, ne serait-ce que pour briser la glace !

5. Le marchandage sur les marchés doit rester bon enfant, avec calme et raison. C’est comme un jeu de rôle, qui peut être amusant ! Si le marchandage n’est pas de mise, n’insistez pas.

6. Privilégiez les productions alimentaires régionales et l’artisanat local. Les soutenir contribue au maintien des métiers traditionnels. Sauf à Pékin, évitez le « made in China »

7. Bannissez les entreprises qui exploitent ou abusent des animaux, surtout ceux menacés et n’achetez pas d'ivoire, corail ou tout autre produit issu d'animaux en voie de disparition.

8. Ne gaspillez pas l’eau ni l’énergie. Respectez les règles affichées dans les hôtels, musées, plages ou autres espaces naturels pour contribuer à préserver l’équilibre des lieux.  

9. Pour des raisons environnementales, évitez d'acheter de l'eau en bouteilles plastique. Remplissez votre gourde ou une bouteille d'eau réutilisable avec de l'eau filtrée.

10. Débarrassez-vous de vos déchets et triez-les toujours soigneusement, y compris les mégots de cigarette.